Piochez dans notre boîte à idées pour plus de bien-être au travail !
Vous recherchez des idées pour le bien-être au travail, faciles à mettre en place ? Il y en a partout sur le web !
Effet de mode ou réelle préoccupation ? Y a-t-il de réels avantages pour l'employeur et la DRH d'intégrer le bien-être dans la stratégie managériale ? Les bénéficiaires travaillent-ils vraiment mieux et sont-ils plus épanouis ?
Méfiez-vous des apparences, la problématique est plus complexe qu'il n'y paraît. Une table de ping-pong ne suffit pas, il faut d'abord consulter vos équipes sur leurs attentes.
D'autre part, tout ne repose pas sur les épaules du top management, les collaborateurs doivent aussi s'engager avec leur employeur dans cette démarche, parfois subjective, du mieux-être au travail.
Dans cet article coécrit avec Déborah Romain-Delacour, docteur en psychologie, auteure et conférencière, on vous donne quelques pistes pour mettre à profit ce levier de motivation des ressources humaines qu'est le bien-être au travail.
Qu'est-ce que le bien-être au travail ?
Le bien-être au travail : définition
Pour l'INRS, Institut national de recherche et de sécurité, « la notion de bien-être au travail est un concept englobant, de portée plus large que les notions de santé physique et mentale. Elle fait référence à un sentiment général de satisfaction et d'épanouissement dans et par le travail qui dépasse l'absence d'atteinte à la santé. Le bien-être met l'accent sur la perception personnelle et collective des situations et des contraintes de la sphère professionnelle ».
Quant à l'OMS, elle définit officiellement le bien-être au travail ainsi : « Un état d'esprit caractérisé par une harmonie satisfaisante entre d'un côté les aptitudes, les besoins et les aspirations du travailleur et de l'autre les contraintes et les possibilités du milieu de travail. ».
Cette préoccupation, plutôt récente, relève de la gestion des entreprises, et plus spécifiquement de la gestion des ressources humaines (GRH), ses enjeux étant à la fois opérationnels et sociaux.
On peut même parler d'une dimension QHSE (Qualité Hygiène Santé Sécurité Environnement) qui s'attache, entre autres, aux risques psychosociaux relevant des conditions de travail, comme le stress, l'hyperconnectivité, le burn-out (le surmenage), le bore-out (l'ennui), le brown-out (la perte de sens)... des maux bien de notre temps !
Pourquoi s'intéresser au bien-être au travail ? Quelques chiffres
La corrélation entre qualité de vie au travail (QVT) et performance est désormais avérée, mais mettre des chiffres sur ce phénomène est compliqué, car tout dépend de la taille et du secteur de l'entreprise :
- celles qui ont le plus de moyens et le moins de contraintes sont bien entendu les plus enclines à s'en préoccuper ;
- bémol pour le secteur industriel, les TPE et les start-ups.
Voici néanmoins quelques statistiques :
- Selon une étude menée par Harvard/MIT en 2018, être heureux au travail rendrait :
- 31 % plus productif,
- 2 fois moins malades,
- 6 fois moins absents,
- 9 fois plus loyaux,
- et 55 % plus créatifs.
- Selon une étude IFOP de septembre 2018 :
- pour 1 Français sur 3, le bien-être au travail est une priorité, avant l'exercice d'une activité qui a du sens (1/10) ;
- les sources de mécontentement sont la rémunération (pour 1 Français sur 2), le manque de formation (4 Français sur 10) et le manque de reconnaissance (1 Français sur 2) ;
- ce qui est important pour eux : l'autonomie (9/10) et le contenu, l'intérêt de leur travail (8/10).
En 2017 en France, le coût du mal-être au travail était estimé à 12 600 euros par salarié dans le secteur privé (étude du cabinet Mozart Consulting).
Attention, ces chiffres sont controversés par une récente étude américaine du National Bureau of Economic Research.
Les dispositions pour le bien-être au travail seraient plus efficaces pour attirer les talents et se démarquer de la concurrence, que pour la lutte contre l'absentéisme et l'amélioration de la santé des employés.
Le mot de l'experte
Il existe quatre grandes catégories de signes qu’il est plus ou moins facile d’identifier pour détecter un mal être au travail :
1— Les signes visibles directs, ce sont les plus simples à identifier. Ils s’incarnent en général dans des discours de plainte autour de ce qui fait souffrance au travail : perte de sens, manque de reconnaissance, d’autonomie, salaire qui ne permet pas de vivre décemment, conflits récurrents, etc.
2— Les signes visibles indirects. On les observe facilement, mais le lien avec un sentiment de mal être au travail n’est pas toujours évident de prime abord. Par exemple, un collaborateur peut commettre des erreurs concernant un dossier sur lequel il travaille non pas parce qu’il est incompétent, mais parce que les sentiments négatifs qu’il ressent à propos de son travail nuisent à sa concentration.
3— Les signes invisibles directs. Ils sont internes, il faut donc faire preuve de beaucoup d’observation pour y accéder et offrir au collaborateur un espace d’expression libre au sein duquel il peut être écouté sans jugement. On parle ici de tout ce qui est en rapport avec les pensées et les émotions négatives, voire toxiques, en lien avec le travail.
4— Les signes invisibles indirects. Ils sont également internes, mais difficiles à identifier. Ce sont les pensées et les émotions négatives, voire toxiques, sans relation apparente avec le travail. Une démarche analytique autonome ou accompagnée permet de mettre en lien ces productions mentales néfastes avec la sphère professionnelle.
Les enjeux du bien-être au travail
Il est évident que la construction d'un projet d'entreprise fédérateur autour d'idées de bien-être au travail n'est pas désintéressée (qu'est-ce qui l'est ?).
Pour l'employeur, cela peut réduire les maladies professionnelles et leurs coûts, mais aussi rendre sa société plus créative et plus productive que ses concurrents.
De plus, il attire les talents et les fidélise.
Quant aux employés, ils travaillent dans un meilleur environnement, comportant plus d'avantages et moins de stress. Leur engagement est renforcé, leur expérience collaborateur améliorée, ils sont reconnaissants et épanouis.
Voici ce que le bien-être au travail peut apporter à tous.
✚ Plus :
- de productivité,
- d'engagement collaborateur,
- de fluidité des processus,
- de créativité,
- d'efficacité,
- d'épanouissement,
- de cohésion,
- de motivation,
- de fidélité.
⊖ Moins :
- de turnover,
- de frustration,
- d'absentéisme,
- de maladies,
- d'accidents.
💡 Le bien-être au travail dépend énormément du style de management adopté par l'entreprise. Pour engager au mieux vos collaborateurs, découvrez comment rendre vos managers plus agiles et à l'écoute, grâce à notre livre blanc coécrit avec Zest by Zestmeup.
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Idée n°1 — La reconnaissance au travail
Selon des sondages mensuels réalisés en 2019 à travers le monde par Bloom At Work, la reconnaissance au travail est le premier levier de bien-être au travail pour 76 % des salariés.
En bon manager, sachez dire quand quelque chose ne va pas (toujours en privé), mais aussi quand vous appréciez le travail d’un collaborateur. 😉 Si vous le faites publiquement, c’est encore plus valorisant et motivant.
Attention, la reconnaissance au travail passe aussi par la rémunération, l’écoute et l’investissement dans la formation.
La rémunération
N’oubliez pas que la rémunération est le critère numéro 1 pour quantité de travailleurs. C’est une question de confort de vie (pouvoir d’achat), mais aussi de reconnaissance de la juste valeur du travail fourni. ☝️ Vous pouvez aussi mettre en place un package de rémunération attrayant, pour gonfler la rétribution de vos collaborateurs, à moindres coûts pour l’employeur. Comment ? En utilisant par exemple une plateforme de gestion des avantages exonérés, telle que May. Grâce aux huit avantages proposés (des titres restaurant aux chèques-cadeaux, en passant par la culture, la mobilité et le sport, etc.), vous augmentez le pouvoir d’achat de vos salariés, sans charges supplémentaires. En bonus : grâce à l’Open Banking, pas besoin de multiplier les cartes ! Les collaborateurs sont libres de leurs dépenses et les avantages leur sont reversés sur leur compte bancaire.
Des perspectives d’évolution de carrière
Ne faites pas miroiter des évolutions sans fondement. Mais quand vous avez une idée précise des promotions possibles, communiquez. Soyez pédagogue, expliquez comment cela marche, et selon quelles conditions.
L’égalité de traitement
Quoi de pire que de se sentir moins bien traité que les autres ? Soyez juste et équitable entre junior/senior, femme/homme, cadre/employé, etc. Chacun apporte sa pierre à l’édifice. De grandes réussites ont été rendues possibles grâce à des stagiaires.
Des cadeaux et des primes
On appelle cela l’incentive : un programme ou des techniques destinés à améliorer la motivation et les performances du personnel d’une entreprise, souvent l’équipe commerciale. Quand vous le pouvez et que c’est justifié, récompensez vos collaborateurs. Aucun doute qu’ils apprécieront et feront tout pour que cela se reproduise.
Des avantages en nature
Pour attirer les talents, faciliter le quotidien de vos équipes itinérantes, ou valoriser l’ancienneté, il n’y a pas que la rémunération. Une voiture de fonction, un téléphone professionnel, des tickets ou une carte de restauration sont très appréciés.
La formation continue
Les idées ne manquent pas : webinaires, conférences, MOOC, SPOC, COOC... Proposez et encouragez les formations, il est très valorisant d’avoir un manager qui investit en vous, en votre savoir. En leur donnant l’opportunité et le temps d’apprendre de nouvelles techniques, l’usage de nouveaux outils, vos collaborateurs sortent de leur routine, ce qui booste leur motivation. Et ils auront envie de vous montrer ce dont ils sont capables ensuite !
L’écoute, le management participatif
Appréciez et mettez en valeur les singularités, les profils différents de chacun. Ils prendront plus facilement la parole et apporteront leur regard sur des projets ou des problématiques. Résultat : plus d’engagement et une réactivité accrue.
Le mot de l'experte
Les célèbres expérimentations d’Elton Mayo montrent que le plus important pour les collaborateurs, c’est de se sentir reconnus par leur hiérarchie. C’est le fameux effet Hawthorne : un intérêt sincère pour ses équipes augmente la productivité.
Il ne s’agit donc pas pour la direction d’imaginer ce qui plairait à ses salariés ou pire encore de simuler une réalité professionnelle faussement idyllique, mais de mettre en œuvre une réflexion collaborative et un plan d’action porté par l’ensemble du personnel pour développer un environnement de travail favorable.
Redonner le pouvoir d’agir à chacun augmente l’implication, l’autonomie et donc la motivation intrinsèque nécessaire pour se sentir heureux dans son travail.
Idée n° 2 — Une bonne organisation du travail
La flexibilité au travail
Cette nouvelle tendance repose sur la confiance et l’autonomie et concerne plusieurs facettes de l’organisation au travail, notamment :
- la flexibilité des horaires : l’employé arrive par exemple entre 8 h et 10 h et repart en conséquence, entre 16 h et 18 h pour mieux organiser ses plannings professionnel et personnel.
- la flexibilité sur les congés : l’employé aménage son temps de vacances selon ses impératifs ou ses envies. Trois principes incontournables ici : autorégulation, anticipation et communication.
- le flex office, ou la flexibilité dans l’espace de travail : fini le bureau attitré et le même voisin toute l’année, l’employé s’assoit avec son matériel où bon lui semble, suivant les travaux en cours ou les affinités.
Le télétravail
C’était déjà une pratique de plus en plus adoptée avant la crise sanitaire, et même si le télétravail est incontournable en temps de confinement comme cela a été le cas, il est aussi bénéfique en temps normal pour attirer des talents nomades.
L’employé n’a pas à se rendre sur son lieu de travail et gagne ainsi un temps précieux. C’est aussi une journée où il peut travailler à son rythme, plus tôt, plus tard, dans son propre environnement.
Selon une étude de Malakoff Humanis, le télétravail contribue à la diminution de l’absentéisme pour 44 % des managers qui le pratiquent, et à un meilleur équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle pour 89 % des télétravailleurs.
Le mot de l'experte
- Observer attentivement l’environnement, les gestes et le regard de votre interlocuteur.
- Écouter longuement sans juger pour comprendre, et non pas pour répondre.
- Exprimer sincèrement ses points de vue et ressentis, à la première personne.
La définition claire du rôle de chacun
Il ne s’agit pas d’être rigide et inflexible, mais plutôt d’être transparent : chacun doit avoir une fiche de poste définie, avec des missions claires. Cela évite les rivalités et peut améliorer l’esprit d’équipe.
La suppression des réunions chronophages
Est-il indispensable d’inviter toutes ces personnes aux réunions ? Pourquoi pas seulement les chef(fe)s de service ? Trop de réunions peuvent être très frustrantes en perte de temps et de productivité.
Des objectifs réalistes
Si vous fixez des objectifs surréalistes, vos équipes baisseront les bras rapidement. Avec de plus petits objectifs, planifiés sur des périodes plus courtes, vous risquez bien de rencontrer le succès !
Idée n° 3 — Un bon environnement de travail
Du matériel adapté
Renouvelez votre parc informatique avant obsolescence, des outils non adaptés sont source de frustrations et d’improductivité. Soyez à l’écoute des besoins en logiciels aussi, s’ils font gagner du temps au demandeur, le bénéfice est pour vous aussi !
Du mobilier ergonomique, confortable
Que ce soit le tapis de souris avec mousse pour le poignet, le filtre pour l’écran, le fauteuil ou le ballon de yoga, les rangements, ou le bureau permettant de travailler debout, un salarié à l’aise est un salarié heureux. Dans une démarche QHSE, il est aussi prouvé que la santé de vos employés est mise à rude épreuve si ceux-ci sont assis sur une chaise de bureau toute la journée. Si vous instaurez le télétravail sur le long terme, investissez dans le matériel de vos employés à domicile, pour qu’ils soient aussi bien installés à la maison qu’au bureau.
Un espace de travail bien aménagé
Observez les comportements, soyez attentifs aux premiers signes d’inconfort. L’open space est-il la bonne solution ? Si oui, pourquoi ne pas mieux insonoriser chaque box avec des panneaux ? Évitez aussi les bureaux coincés dans un coin ou face à un mur, sans luminosité, cela n’est pas stimulant du tout. Évitez aussi les bureaux proches de zones bruyantes ou malodorantes (cuisine, salle de pause, toilettes). Le bruit affecte la concentration et impacte la qualité de vie au travail.
Un espace de restauration
Si vous n’avez pas de self, un espace avec tables, chaises confortables, frigo et micro-ondes est suffisant. Chacun est libre d’apporter à manger, ou d’acheter son déjeuner à l’extérieur, et de partager un moment convivial avec ses collègues.
La décoration
Choisissez des couleurs pleines de peps et lumineuses, des locaux ouverts sur l’extérieur, avec vue sur la nature. Mettez des plantes partout, voire des plantes dépolluantes, pourquoi pas des phrases motivantes aux murs, et autorisez un minimum de personnalisation pour les bureaux individuels (photos, cartes postales, figurines), si vous n’êtes pas en flex office bien sûr.
Un lieu dédié à la pause, « interdit au travail »
Aménagez un petit endroit où vous vous refuserez d’entrer en trombe pour demander tel ou tel dossier (sauf urgence). Quelques poufs, une petite table, des journaux, des BD et des jeux feront l’affaire. Certains vont jusqu’à installer des transats ou des hamacs. La pause n’est pas une perte de temps, c’est un moment de calme, de déconnexion et de sociabilisation salvateur, favorisant la créativité et la productivité.
☝️ La mise à disposition de café et de thé permet un moment de décompression et de convivialité où certains échangent sur les dossiers en cours, ou sur leur vie privée.
Idée n° 4 — La gestion de l’humain
L’accueil des nouvelles recrues : l’onboarding
Assurez-vous que chaque nouvel employé ait son mentor, se sente accueilli, soutenu et suivi. On appelle cela l’onboarding. La première impression est extrêmement importante.
D’après Welcome to the jungle, 1 salarié sur 5 quitte sa boîte durant les 3 premiers mois à cause d’une mauvaise intégration, et 4 % après une première journée désastreuse.
Le désamorçage des conflits
Si vous constatez une ambiance pesante ou des disputes, réagissez vite en recevant les deux parties. Le plus tôt l’abcès est crevé, le plus facilement vous pourrez prendre les décisions qui s’imposent.
Le respect de la vie privée
Sauf à l’initiative de l’employé, mettez une barrière vie pro/vie perso, et évitez à tout prix de contacter vos collaborateurs les soirs, les week-ends et encore moins pendant leurs vacances. Souvent, cela peut tout à fait attendre.
Des services en plus
Proposez à vos employés de se faire livrer sur leur lieu de travail pour qu’ils n’aient plus à courir en sortant du travail à la Poste ou au relais colis.
Et pour les plus grandes sociétés, pourquoi ne pas mettre en place une crèche d’entreprise ? Les frais sont mutualisés, vos salariés ne sont plus préoccupés par la garde de leur progéniture, autant de temps qu’ils dédient à leur travail !
Idée n° 5 — Une culture d’entreprise cohérente et sincère
Vos valeurs
Vous avez des valeurs sur lesquelles vous communiquez à l’extérieur ? Très bien. Appliquez-les en interne aussi, de façon sincère, pas seulement pour développer votre marque employeur.
L’éthique en particulier : si vous produisez des produits et des services de qualité, dans le respect de l’environnement, vos salariés seront fiers et heureux d’en profiter au quotidien.
Communiquez régulièrement sur les directions prises par l’entreprise, ses priorités, demandez l’avis de vos collaborateurs, leurs idées. Valorisez vos actions déontologiques.
Quid des activités caritatives ? L’effet groupe est encourageant et c’est épanouissant de faire du bien aux autres et à la planète ! Collecte, dons, ramassage de déchets, etc., les idées ne manquent pas !
La cohésion d’équipe
Pourquoi ne pas organiser un teambuilding, comme un escape game, pour consolider et favoriser la communication au sein de vos équipes ?
C’est ludique et bénéfique pour la cohésion. Cela peut aussi être un afterwork pour célébrer collectivement une réussite de l’entreprise.
Le loisir au travail
Tout comme il nous arrive de ramener du travail à la maison (charge mentale, mails, etc.), il est peut-être pertinent d’amener un peu de loisirs au travail, de façon cadrée (créneau horaire, espace défini). Un jeu vidéo, un film ? Pourquoi ne pas autoriser la venue d’un animal de compagnie un vendredi par mois ?
Idée n° 6 — La santé au travail
La prévention des risques psychosociaux
La santé mentale des collaborateurs est une préoccupation grandissante des entreprises, et vous aussi pouvez agir pour la préserver. Comment ? En offrant des dispositifs d’accompagnement individuels et collectifs de vos salariés.
☝️ Si vous ne savez pas par où commencer, des solutions innovantes vous aident dans la prévention des RPS et soutiennent votre démarche de bien-être au travail.
Par exemple, Holivia est une plateforme digitale qui offre des parcours 100 % personnalisés qui reposent sur l’accompagnement par des psychologues spécialistes des sciences cognitives (pour 75 % d’entre eux coachs en entreprise) d’une part, ainsi que sur des contenus de self-care pour encourager vos équipes à prendre soin de leur santé mentale d’autre part). Ils peuvent ainsi choisir le soutien psychologique adapté à leur situation, en toute confidentialité.
Le sport pour développer le mental
Encouragez/permettez la pratique d’un sport : yoga, course à pied sur la pause déjeuner, peut-être que l’un de vos collaborateurs aimerait partager une passion et coacher ses pairs ?
Double bénéfice : cela permet au cerveau de faire une pause et de réduire les troubles musculosquelettiques.
Le partage d’activité de bien-être
Sur le temps de pause, pourquoi ne pas partager des activités ludiques et saines, comme un atelier cuisine, une séance de méditation, ou la création d’un potager ?
La nourriture pour le corps et l’esprit
Proposez un panier de produits sains à consommer : pour un petit investissement, vos collègues se régalent de fruits et de jus bios. Cela paraît anecdotique, mais un collaborateur rongé par la faim ne pense plus à rien d’autre qu’à la pause déjeuner…
💡 Si vous voulez comprendre pourquoi il est essentiel d’oser le bonheur au travail sans attendre, téléchargez gratuitement le livre blanc 5 raisons d’oser le bonheur au travail.
Télécharger le livre blancUn investissement gagnant/gagnant
Quel que soit le retour sur investissement, moins d’absentéisme ou plus de reconnaissance, etc., les bienfaits de dispositions pour le bien-être au travail sont avérés.
Si vous êtes dans la position du manager, piochez dans la boîte à idées et adaptez-les à votre structure. Ce sera source de bien-être pour vous aussi.
Pourquoi ne pas utiliser une solution moderne de feedback à 360° pour optimiser l’engagement de vos équipes en temps réel ? Zest by ZestMeUp par exemple, propose une suite web et mobile composée de 3 modules pour des collaborateurs mieux écoutés, accompagnés et valorisés au sein de votre entreprise.
Si vous êtes employé, soumettez vos bonnes idées d’amélioration des conditions de travail. Vos collègues vous en seront reconnaissants et votre employeur appréciera votre investissement dans un environnement agréable, à condition de savoir doser vos demandes.
Notre dernier conseil : attention au surinvestissement dans le bien-être au travail. Le deuxième critère le plus important pour nombre de Français est la recherche de sens au travail.
Avez-vous d’autres idées à partager ? À vos commentaires !
Avec une décennie d’expériences éditoriales à son compteur, Nathalie Pouillard est passionnée par les mots et la transmission de savoirs. Diplômée de Sup de Pub INSEEC Paris en conception-rédaction et stratégie publicitaire, et spécialisée en conception-rédaction, elle a plusieurs casquettes, dont la rédaction, mais aussi la correction et révision de textes pour divers secteurs (édition, communication en agences, audiovisuel). Ses compétences en stratégie éditoriale, référencement naturel et webmarketing l'amènent également à travailler sur des projets SEO. Elle a notamment travaillé dans le secteur associatif (pour la presse) et pour une start-up de conseil aux entrepreneurs.
Réalisations : articles, brèves et infographies pour le magazine trimestriel [NDLR] en Occitanie. Articles web sur l’actualité des SaaS et de l’entrepreneuriat. Gestion de projets pour l’égalité de traitement des femmes dans les médias (Femmes & Médias) : Annuaire des expertes, Esprit Critik.
Certifications : Lecture-correction (EFLC), Certificat Voltaire (expert), Certificat Le Robert (expert)