Libérez vos logiciels métiers grâce au no-code !
Les logiciels métiers standards ne répondent pas correctement aux besoins des entreprises, pour diverses raisons :
- Les logiciels métiers standards sont lourds et coûteux à mettre en place.
- Ils répondent souvent mal aux besoins des utilisateurs.
- Ils sont très difficiles à faire évoluer pour faire face aux changements constants des besoins des métiers.
Quels problèmes avec les logiciels métiers ?
Les logiciels métiers sont lourds et anciens
Si les logiciels métiers classiques sont lourds et difficiles à faire évoluer, c’est parce qu’ils sont codés à la main par les développeurs. La rédaction du code est longue et complexe.
Pour cette raison, les logiciels métiers proposés par les éditeurs :
- évoluent lentement d’une part ;
- sont souvent de conceptions anciennes d’autre part.
En effet, compte tenu de la lourdeur des investissements pour redévelopper une nouvelle génération de logiciels, peu d’éditeurs osent se lancer dans des projets de refonte d’un logiciel.
En parallèle les besoins de métiers, eux, continuent à évoluer de plus en plus rapidement.
L’écart se creuse entre les besoins réels des métiers et les fonctionnalités réelles des logiciels.
Les logiciels métiers sont difficiles à personnaliser
Les logiciels métiers sont de plus très difficiles à personnaliser.
Pour adapter les logiciels métiers aux besoins spécifiques des entreprises, les possibilités sont limitées et onéreuses :
Paramétrages :
- Plus les logiciels métiers ont de paramètres, plus ils sont personnalisables, mais plus la définition des paramètres à mettre en œuvre pour un client donné est complexe, au point que les budgets des projets de mise en place de ces logiciels sont souvent pharaoniques.
- Généralement les possibilités de paramétrages sont limitées et ne permettent pas de couvrir réellement le besoin du client.
- Finalement, c’est souvent le client qui doit adapter ses besoins aux possibilités du logiciel. Un comble !
Les développements spécifiques :
Parfois, il est possible de réaliser des développements spécifiques sur le logiciel métier standard.
- Ces développements spécifiques sont lourds et coûteux à mettre en œuvre.
- Ils sont compliqués à maintenir et à faire évoluer.
- Ils entraînent une perte de compatibilité ascendante avec les futures versions du logiciel métier standard.
Il n’existe pas aujourd’hui de solution satisfaisante pour répondre aux besoins des entreprises.
Pour résoudre ce problème, il faudrait :
- Un système permettant de réaliser rapidement des logiciels métiers beaucoup plus rapidement : 10 fois, 20 fois plus vite.
- Permettre une personnalisation facile et complète du logiciel métier standard
La solution : le no-code métier
À partir de la fin des années 2000 sont apparus de nouveaux outils permettant d’accélérer le développement des logiciels, avec l’idée d’industrialiser la production de code.
Cette tendance a produit trois générations d’outils.
#1 Le low-code
À la fin des années 2000, les premiers outils low-code sont apparus, permettant de réaliser des logiciels en réduisant de manière importante l’écriture de code (Outsystem, Mendix).
Cette génération de logiciels a permis d’accélérer les développements par 2.
Cependant, ces outils présentent encore plusieurs limites empêchant d’atteindre l’objectif recherché :
- Une partie non négligeable du code doit toujours être écrite à la main. Il est donc nécessaire de disposer de compétences d’un développeur pour réaliser des logiciels complexes.
- Les objets de base manipulés pour réaliser les logiciels se situent toujours à un niveau technique (bouton, champ, processus, etc.).
- Il n’existe pas de système permettant de bénéficier d’un logiciel standard pouvant être personnalisé en partie, tout en gardant la compatibilité ascendante.
#2 Le no-code
À partir des années 2015, les outils no-code sont apparus (Bubble, Webflow, etc). Il s’agit d’une évolution des outils low-code permettant de réaliser les logiciels sans écrire une seule ligne de code.
Ces logiciels ont permis de résoudre la première limite des logiciels low-code : pas de code à écrire à la main et nul besoin d’être développeur pour réaliser un logiciel.
Cependant les 2 autres limites des logiciels low-code sont toujours d’actualité.
#3 Le no-code métier
Pour lever les 2 limites restantes, des outils no-code métiers sont apparus récemment (Yoo Soft).
Ces outils permettent de réaliser des logiciels complexes à partir de Composants Métiers Standards pré-modélisés pour chaque secteur d’activité.
Ces composants intègrent les meilleures pratiques métiers comme les logiciels standards classiques. Dans les outils no-code métiers, le concepteur manipule des objets métiers comme « une fiche produit », « une fiche client », « une gestion de commande », etc.
Un simple glisser-déposer permet de créer en quelques minutes un logiciel standard.
Cependant, comme ces composants ne sont pas codés, mais modélisés, ils sont facilement personnalisables au sein de l’outil de conception no-code métier, sans écrire une seule ligne de code.
Cette personnalisation permet néanmoins de garantir un haut niveau de compatibilité ascendante.
Cette dernière génération de logiciels no-code permet de réaliser les logiciels métiers standard 25x plus rapidement. Ces solutions métiers standards ne sont pas développées à la main, mais modélisées graphiquement. Le code est généré automatiquement.
Comme ces logiciels sont modélisés, il est facile de modifier graphiquement n’importe quel comportement du logiciel (structure de données, écrans, règles de gestion ou de calcul, processus, interfaces de données, etc.) pour s’adapter aux besoins particuliers de chaque client.
Cette personnalisation est réalisée en quelques heures et sans écrire la moindre ligne de code.
Eric QUIVY est le CEO co-fondateur de YOO SOFT. Il est l’un des pionniers dans l’élaboration du no-code métier après une expérience de 20 ans comme Directeur R&D chez des éditeurs de logiciels et 10 ans comme DSI d’un grand groupe du secteur du Retail.