PIM Open-source et logiciels "propriétaires" : mythes et réalités
De nombreuses entreprises comprennent l’intérêt du PIM pour améliorer et optimiser la gestion des informations de leurs produits auprès des marketplaces telles que les sites e-commerce, mais aussi auprès des réseaux de distribution physiques. Cependant, quelques idées reçues sur le PIM en mode SaaS dit « propriétaire » et le PIM Open Source subsistent, par manque de connaissance des enjeux concernant la maîtrise et l’exploitation de toutes les données circulant dans l’entreprise, mais aussi ailleurs.
Examinons ces différentes visions du PIM :
Le piège du Do It Yourself
Si les outils PIM Open Source séduisent au départ par l’accès au code source, toutes les entreprises ne disposent pas des ressources mobilisables pour « développer » leur propre PIM en interne ou développer autour d’un noyau open source.
Et pour les plus chanceuses, c’est-à-dire les mieux équipées en termes de compétences techniques, les DSI vous le diront : le PIM sur mesure prend du temps, et coûte donc de l’argent.
De plus, lorsque la solution introduit de nouvelles versions (ce qui est souvent le cas), les mises à niveau deviennent difficiles, voire impossibles, à cause des développements parallèles réalisés par l’entreprise, et parfois même les extensions installées ne sont plus compatibles.
De nouveaux investissements supplémentaires, aussi bien humains que financiers, font alors grimper le montant de l’addition en flèche.
Préjugé : le PIM open source est gratuit
Le PIM Open Source à très faible coût ou en version gratuite est toujours limité. Il faut en effet souscrire à des niveaux supérieurs d’offres payantes pour accéder à des solutions plus complètes et plus performantes et même souvent acquérir des modules externes payants avec leur propre modèle économique de maintenance et mise à jour.
Accompagnement, coûts d’intégration, mises à jour, interopérabilité et flexibilité de la solution sont autant d’éléments à considérer pour évaluer le coût et l’investissement d’une solution PIM, qu’elle soit open source, ou non.
Au final, pour garder toutes ses plumes, rien de tel que de souscrire à une offre « All Inclusive », avec laquelle vous pouvez décoller sans avoir de mauvaise surprise (comme devoir faire le plein en cours de vol au tarif « haute altitude ») : le budget final se révèle bien moins élevé.
L’idéal, et les éditeurs de logiciels les plus avisés l’ont bien compris, c’est de pouvoir essayer la solution PIM et toutes ses fonctionnalités gratuitement pendant une durée suffisante pour se faire une idée.
Réalité : l’outil DAM essentiel au PIM trop souvent absent
Les bénéfices du DAM sur le long terme
L’intégration d’un outil DAM au sein d’une plateforme PIM procure un lot d’avantages multiples :
- vous gardez la main sur votre patrimoine numérique,
- vous gérez les droits d’accès utilisateurs sur chaque média,
- le travail de vos équipes est facilité par la modélisation des processus de workflow métier,
- chaque collaborateur organise son arborescence selon ses besoins métier.
Dans un contexte où la maîtrise de la donnée et de la diffusion de vos médias est un réel enjeu de développement, la plateforme Afineo réunit des atouts qui se traduisent par des avantages compétitifs sur le long terme.
Pour en finir avec les croyances
Dans bien des cas, le PIM OPen Source reste un produit d’appel : la liste des options payantes s’allonge, à la manière d’une voiture dont vous devriez payer des suppléments pour la climatisation, l’assistance zéro kilomètre, les vitres électriques, voire les vitres tout court.
Comparez et estimez vos coûts : hébergement, maintenance, sécurité des données, accompagnement, déploiement et fonctionnalités sont-elles incluses dans l'offre ou en supplément ?
En comparaison, la plateforme Afineo présente une offre plus complète à un prix plus avantageux. Elle comprend en effet une richesse de fonctionnalités supérieure, comme un véritable DAM intégré et un déploiement sans stress.
Ces éléments de décontraction comme tant d’autres, Afineo ne les dissocie pas dans sa proposition commerciale :
- l’entreprise ne plaisante pas avec la qualité (certains de vos virages à négocier sont serrés),
- ni les performances (dans la course, vous souhaitez rester dans le peloton de tête).